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… elles nous attendent là-bas, sur un autre continent… ((Musique : "Luzmila Carpio c'est un violon qui chante" Yehudi Menuhin)
- L'île du Soleil se trouve sur la partie bolivienne du Lac Titicaca, au large de Copacabana. Cette île de 9,6 kilomètres de long sur 4,6 kilomètres de large est la plus grande du lac. (altitude autour de 3800 m). L'île abritait à l'époque des Incas un sanctuaire où les Vierges du Soleil rendaient hommage à Inti, le Dieu du Soleil. Elle conserve les vestiges de cette période Inca. Vous y découvrirez les ruines du Palais de Pilkokaina, un édifice de 2 étages au sud de l'île dont la construction fut ordonnée par Tupac Yupanqui. Pilkokaina veut dire en quechua "Site où se repose l'oiseau", l'oiseau symbolisant l'Inca. Les murs du palais possèdent des niches trapezoïdales qui recevaient les wakas, les figures sacrées. Les portes s'ouvrent à l'est en direction du soleil levant. Las pisadas del Sol : (les traces de pas du Soleil) la légende raconte qu'après un grand déluge, le Soleil se trouvait sur la Terre & laissa les traces de ses pas quand il prît son élan pour s'élever dans le Ciel. Il s'agit en réalité de formations géologiques que l'on rencontre un peu partout sur l'île.
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Harmonie de l'eau, des fleurs, du bois et de la roche. Gerbes d’écumes et cascades. Un paradis botanique revisité par l’homme dont la créativité protège le manteau végétal de la Terre.
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L’ai-je écouté en boucle cette mélodie ! Je retrouve la même émotion-parfois intensifiée- à chaque nouvelle écoute tant la voix de Franck Sinatra, si bouleversante, traverse les époques avec force et facilité. Elle véhicule de nombreux souvenirs…
D’après : http://www.linternaute.com/biographie/frank-sinatra/biographie/
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Pierre et le Loup (???? ? ???? en russe) est un conte musical pour enfants, dont le compositeur russe Sergueï Prokofiev (1891 - 1953) écrit le texte et compose la musique en 1936, année de son retour définitif en URSS.
Le Théâtre en Kit est une compagnie professionnelle implantée à Tomblaine (54510), à proximité de Nancy. Elle travaille en résidence au Théâtre de la Source. Son spectacle jeune public est un pur joyau.
Version du Théâtre en kit :
Deux musiciens s’apprêtent à donner le concert de ‘Pierre et le loup’ devant le public. Au moment de sortir leurs instruments, l’un d’eux découvre son étui à violon absolument vide.
Dans l’urgence, ils décident de raconter l’histoire en pliant leurs partitions selon la technique de l’origami* et donnent ainsi naissance aux personnages du conte.
L’imaginaire des deux concertistes se met alors au service de la musique de Prokofiev sur laquelle ils inventent une chorégraphie de marionnettes.
*Origami (oru : plier, et kami : papier) est le nom japonais de l'art du pliage du papier qui permet à l'aide d'une feuille, de réaliser toutes sortes de personnages et d’objets sans couper ni coller.
Une version originale de ‘Pierre et le loup’, ou comment le Théâtre en kit interprète ce conte avec des marionnettes de papier, sans instruments de musique, mais tout en conservant l’œuvre musicale de Prokofiev. La fusion de la musique et de l’origami, deux techniques également régies par des règles complexes et rigoureuses, aboutit à une apparente simplicité.
A l’évidence des timbres des instruments correspondent les couleurs franches des marionnettes et leur manipulation, dirigée par la musique, permet de reconnaître la phrase musicale de chaque personnage..
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Antonio Carlos Brasileiro de Almeida Jobim est un musicien brésilien né le 25 janvier 1927, à Tijuca, dans la partie nord de Rio de Janeiro et mort le 8 décembre 1994 à New York (États-Unis). Cofondateur du style « bossa nova », il a composé un grand nombre de chansons qui restent à la fois comme classiques de la musique populaire brésilienne et standards du jazz.
Il est couramment appelé Tom Jobim, qui se prononce en portugais « ton jobi(n) » et non à l'américaine « tomm djobimm ». (wikipédia)
Un peu délaissé par les femmes d’aujourd’hui, l’éventail reste un symbole de féminité et de mystère, celui qui permet de cacher le bas du visage tout en laissant apparaître des yeux taquins – ce n’est pas pour rien qu’il a autant inspiré les artistes… et les hommes.
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Les timides qui ne quittent jamais le port, les anxieux qui ont peur de vieillir en mer, les amoureux « qui s’en vont deux par deux », les fous d’orages « Labourés de partout mais plus graves et plus forts», les vieux navires qui ont trimé et se sont aimés « Sans jamais replier leurs ailes de géants / Parce qu'ils ont le cœur à taille d'océan »...
Ce sont eux que chante MANNICK.
Mannick, de son vrai nom Marie-Annick Rétif, née à Angers le 9 octobre 1944, est une auteur-compositeur-interprète française dont le répertoire s'adresse aussi bien aux jeunes enfants qu'aux adultes. Mannick manie aussi bien l'humour que la poésie dans ses chansons où l'amour tient une place primordiale.
C'est encore adolescente que Mannick débute en 1960 avec le groupe Les Collégiennes de la chanson qui tourne aussi à l'étranger (Canada). À partir de 1970, elle est la voix féminine du groupe Crëche composé de Bernard Haillant, Jo Akepsimas, Gaëtan de Courrèges etJean Humenry. Mannick quitte le groupe Crëche en 1977 qui se sépare en 1978. Depuis cette époque elle continue une carrière en solo et le plus souvent en duo avec Jo Akepsimas. Son album Paroles de femme est certifié Disque d'Or en 1977. Elle eut aussi parallèlement une carrière de chanteuse chrétienne. Elle chante d'ailleurs toujours le plus souvent dans des églises. Aujourd'hui, après plus d'une quarantaine d'années de carrière, elle continue à chanter et à enregistrer, en jouant de la guitare, accompagnée d'un pianiste.
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Cette chanson de Brassens fut récupérée dans ses tiroirs après sa mort, inachevée comme d’autres.
Et nous, on retrouve tous quelque chose de notre enfance sur les plages du souvenir... Un maillot de bain, une pelle, un seau, une casquette et le sable, immense terrain de jeu et de construction pour nos royaumes imaginaires peuplés de forteresses éphémères. La marée montante les contournait de ses vagues, léchait, détruisait, emportant avec elle les butins de nos batailles. Le lendemain, nous bâtissions de nouvelles citadelles, nous inventions de nouvelles épopées et de fantastiques chevauchées. Le monde nous appartenait.
1996 :
Maxime le Forestier chante Brassens " Les Châteaux de Sable" sur l'album "petits bonheurs posthumes".
Un an après Renaud, voici l'album de Maxime Le Forestier, joliment titré « douze nouvelles de Brassens » ou petits bonheurs posthumes. Posthumes, ces chansons furent créées, pour la plupart, par Jean Bertola en 1982 et 1985. Deux inédits rares : La file indienne, enregistrée par Bernard Lavalette, au Théâtre des Cinq Diamants, le 28 octobre 1986, sur une cassette (label Caïac) et Les châteaux de sable, créée sur disque par Valérie Ambroise en 1991 (deuxième CD, réf. 6438), sur une musique de G.?Bourgeois.?Ici, le texte de Brassens a bénéficié d'une nouvelle musique de Le Forestier, énergique, menée à train d'enfer.
Comme Renaud, Maxime a choisi l'acoustique. Mieux : les arrangements sont épurés à l'extrême, puisqu'il ne s'accompagne que de sa guitare. Excellent prise de son qui marie bien la son métallique des cordes à la voix mélodieuse de Maxime.
© jechantemagazine.com/ discogs.com/
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Crédit photos : jechantemagazine.com/ commentfaiton.com/ gallica.bnf.fr/ lexildesmots.hautetfort.com/
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Quels secrets se cachent sous l’écorce des arbres ? Qu’ils soient de noble allure ou d’humble condition, tous les arbres sont beaux ! L’écorce est leur peau. Lisse ou rugueuse, noueuse voire racornie, scarifiée ou veinée, cette peau raconte leur histoire et leurs luttes contre les intempéries, foudre, froid, gel, sécheresse, tempêtes, embruns. Contre les pollutions de tous ordres, les maladies, le manque d’oxygène… Une peau dont les coloris et la texture diffèrent selon les variétés, et les climats, véritables chefs-d’œuvre naturels dont quelques uns ressemblent à des fresques inspirées de la mythologie. C’est une peau protectrice que la vieillesse épaissit et crevasse. Une peau remplie de souvenirs…
Les écorces des arbres me fascinent depuis toujours ; j’aime les découvrir en toute saison, les observer, les toucher et aujourd’hui les dénicher et les photographier. Les ramasser quand elles s’écaillent sur le sol. Enfant, j’appliquais sur elles un papier blanc et reproduisais leurs textures au crayon gras par frottage sans savoir que c’était une technique de dessin utilisée par les surréalistes : Miró, Max Ernst, Fautrier, Michaux, etc - puisque j’ignorais jusqu’à leur existence - Ces empreintes peuplaient mes cahiers et mes rêveries. Je bâtissais alors des empires et des mondes intemporels. Et quels empires !
Et, bien entendu, comme chacun de nous, j’ai gravé mes initiales et celles de mon amoureux sur des écorces, ici et là…
© Thea
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Petite rétrospective de la mode de cette année-là où les couturiers s’appellent Christian Dior, Jacques Fath, Jacques Griffe, Robert Piguet, Paquin, Carven , Jean Dessès etc
Notre Maman n’a jamais porté de robe du soir comme celles qui sont présentées ici, surtout en 1947 ! Elle en a peut-être rêvé… En revanche, elle a eu des robes, tailleurs, manteaux qu’elle confectionnait avec des patrons du petit Echo de la Mode, transformant n’importe quel tissu banal en tissu presque… royal !
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Crédit photos : fra.1september.ru/ fr.hprints.com/ parisenimages.fr/ pinterest.com/
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Spectacle donné au Château de la Motte Beaumanoir en Côtes d'Armor, le 17 juillet 2011, réalisation René Flinois .
Ils sont canadiens, ils apprivoisent le feu et le dansent avec fougue, élégance, respect et amour. Sorte de rituel chorégraphique qui illumine la nuit et les esprits.
« Celui du Feu Sacré nous purifie et nous régénère apprend-on, de l’ancienne Rome à Angkor. Pareil à l’alchimiste, le forgeron confectionne l’immortalité au feu de son fourneau, voire, en Chine, au feu du creuset intérieur qui correspond à peu près au plexus solaire et au manipura-chakra, placé par le Yoga sous le signe du Feu.
(…) Les innombrables rites de purification par le Feu, généralement rites de passage, sont caractéristiques de cultures agraires.(…) Le rite du Feu Nouveau, célébré encore de nos jours par les Chortis (Indiens) au moment de l’équinoxe, c’est-à-dire du brûlage des terres avant les semailles, perpétue ce mythe.
(…) Le Feu, dans les rites initiatiques de mort et de renaissance, s’associe à son principe antagoniste l’Eau. »
D’après : Dictionnaire des Symboles de Jean chevalier et Alain Gheerbrant Ed. Robert Laffont(1969 et 1982)
Pour Gaston Bachelard, « avant d’être le fils du bois, le feu est le fils de l’homme… La méthode du frottement apparaît comme la méthode naturelle. Encore une fois, elle est naturelle parce que l’homme y accède par sa propre nature.(…) La vie du feu , tout entière en étincelles et en saccades, ne rappelle-t-elle pas la vie de la fourmilière ? Au moindre événement, on voit les fourmis grouiller et sortir tumultueusement de leur demeure souterraine ; de même à la moindre secousse d’un phosphore on voit les animalcules lignés se rassembler et se produire en dehors, sous une apparence lumineuse.(BACF. 47,49, 58)
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