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Anniversaires aujourd'hui : 1
… ses plages de galets et ses hautes falaises de craie… Il y flotte une atmosphère d’élégantes en villégiature et de blanches cabines de plage.
Je découvre Mers-les-Bains et je découvre en même temps une architecture balnéaire qui me fascine avec ses façades colorées : du bleu, du mauve, du vert, du brin, du rouge brique…
« une station touristique de la Somme, située sur le littoral de la Manche à proximité de l'embouchure de la Bresle, c’est-à-dire juste à la limite entre la Picardie et la Normandie.
Cette station balnéaire de 3 454 hab. (2007) possède une plage de galets (et de sable à marée basse) d'environ un kilomètre de long ainsi que de hautes falaises de craie. Du haut de ces dernières, près de la statue de Notre-Dame, se dégage un vaste panorama (accessible à pied en passant devant l'église ou en voiture par le plateau en suivant la direction de Blengues) d'où il est possible de voir la mer, la ville voisine du Tréport, son port de plaisance et de commerce, la ville d'Eu avec notamment son château et sa collégiale, puis au nord d'apercevoir Ault et le hâble éponyme, en direction de la Baie de Somme. (…)
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Une voix oubliée...
Né en 1949 à Rennes, c'est à la télévision que Nicolas Peyrac entame sa carrière, dans le Jeu de la chance, diffusé pendant Télé dimanche de Raymond Marcillac. De là sont sortis, entre autres, Mireille Mathieu et Thierry Le Luron. Mis en contact avec l'éditeur de Gilbert Bécaud, il devient photographe. Dans les bureaux de Claude Carrère, il rencontre le frère de Michel Legrand qui lui fait signer un contrat avec Pathé Marconi, après le succès de l'interprétation d'un de ses textes par Marie Laforêt. Gérard Lenorman le fait chanter sur scène et en 1976 il est sur les routes de France avec Serge Lama. Les albums 'Jumbo' et 'Quand pleure la petite fille' sont une consécration. Il partage avec Dalida l'affiche de l'Olympia et fait la première partie de Patrick Sébastien en 1979.
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Ce jour, y’a plus moyen de mettre de vidéos sur le (les) blog (s) ! J’ai beau zieuter, ouvrir mes quinquets, essuyer mes verres de lunettes, y’a plus rien… Disparues les belles zimages qui bougent, les belles zimages qui causent et qui chantent. Sniff !
C’est pourtant pas le mois du Blanc ! Ce serait-y pas youtube qui ferait son grand nettoyage de printemps ?
Alors Patience….Il va bien revenir le temps des zimages animées et musicales…
Vais voir si je ne trouve pas dans mes tiroirs (d’archives) un lien youtubien comme avant, en attendant…
Je vous mets donc "Baiubadu fait son petit mozart " dont le lien youtube est enregistré dans mes dossiers. Juste un essai.
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Ce ne sont pas des robots cette fois mais Carlos Núñez, né le 16 juillet 1971 à Vigo, un musicien galicien, sonneur de gaïta et flûtiste.
D'une famille de musiciens, il commence dès huit ans l'apprentissage de la flûte, suivie de la gaïta deux ans plus tard. Il suit le conservatoire, où il apprend la musique classique.
À treize ans, il se produit au Festival interceltique de Lorient. Il remporte dès sa première participation le trophée Macallan, qu'il remportera également les deux années suivantes.
En 1999, Carlos Núñez produit, avec la collaboration du producteur français Hector Zazou, l'album Os Amores Libres qui sortira en 2000.
Après trois ans passés au Brésil à la recherche des traces de son arrière-grand-père, Carlos rentre en Europe avec une banda (formation musicale) de fusiliers marins brésiliens qui animent avec lui son concert au festival interceltique de Lorient (FIL) en 2009.
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Le Printemps est un enfant. Un enfant qui rit. Un enfant aux yeux radieux. ! Le Printemps est éclosion de lumière ! Eclosion de couleurs et de musique, perles transparentes. Eclosion d’ailes frémissantes et de jeunes pousses en liberté. Eclosion de douceur. Instants diamants. Le Printemps est renaissance.
Thea
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Les p’tits cinémas d’quartier, leurs odeurs, les jeunes filles qui vous accompagnaient jusqu’à votre place, les fauteuils rouges, les « actualités », BALZAC 00.01 de Jean Mineur, les « réclames » comme on les appelait alors, la présentation des films à l'affiche, les fameux « bonbons, caramels, esquimaux, chocolat », qu’une jeune fille accorte présentait aux spectateurs à l'entracte, la lumière qui s’éteignait progressivement. Chuuuuut, le cœur battant on s’installait confortablement. Le générique de Pathé-Marconi, Paramount, Gaumont, Walt-Disney … illuminait le grand écran et la séance commençait : westerns, premiers films en Cinémascope, épopées genre péplum, comédies musicales, policiers américains etc.
On sortait de la guerre, il fallait se couper du décor quotidien, de la routine, rêver, et le cinéma était une magnifique boîte à images et à rêves.
On ne connaissait pas encore la télévision : le cinéma c’était le rendez-vous du samedi soir ou du dimanche. Avec sa magie et l’obscurité complice de la salle.
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Astor Piazzolla a fait danser des générations d'aficionados adeptes de cet art exigeant. Le petit Astor grandit dans le quartier italien de New York. Tout irait bien si papa ne lui avait pas offert un bandonéon au lieu des patins à roulettes. Quelle idée ! Enfin, venu d'un passionné de tango, cela n'est pas étonnant. Sans conviction, Astor joue de temps en temps de ce bizarre instrument en forme de chenille. Le retour à Buenos Aires accélère le destin du jeune garçon désoeuvré qui a la révélation lors d'un concert de violon donné par Elivno Vardaro. Ce dernier devient son modèle et décide Astor de son destin : il sera bandonéoniste !
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Pendant longtemps l’idée de prendre plaisir à se baigner semblait saugrenue. La mer était une ennemie, au mieux une indication thérapeutique. Les bains de mer ne deviennent à la mode qu’au XIXe siècle.
La mer, mauvaise et mangeuse d’hommes… Peuplée de monstres, labourée de tempêtes, la mer fait peur depuis des millénaires. Le Moyen Âge imagine l’océan comme une frontière du monde, la peste arrive par les bateaux, les naufrageurs rôdent sur les côtes, les pirates et les orages en pleine mer, la mort est partout. Les villages en bord de côtes sont souvent plus agricoles que marins.
« Il y a trois sortes d’hommes, écrivait Victor Hugo, les vivants, les morts et ceux qui vont sur la mer ». Personne n’apprenait à nager, pas même les matelots : pourquoi s’épuiser à nager en cas de naufrage à une époque où, faute de radio, personne ne vient à votre secours…
La mer, c’est bon pour les malades ! Le seul bon côté de la mer, en dehors bien sûr de la nourriture qu’elle offre, ce sont les vertus que lui prêtent les médecins. Au XVIe siècle, on prescrivait les bains de mer contre la rage ! Les malheureux malades se voyaient délivrer un certificat pour obtenir le libre passage aux frontières de Bretagne ou du Poitou et gagner l’Atlantique à temps…
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Son nom ? HFP-4C !
Oui, je sais, un prénom un peu… froid. Pas très poétique A rebaptiser… Ceci dit, c’est hallucinant ! Les mouvements sont un peu lents mais quelle parfaite synchronisation avec les 4 vraies danseuses japonaises dont les gambettes sont quand même autrement plus agréables à regarder !!!
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Vingt robots NAO programmés de la même façon lancés simultanément et vous obtenez une chorégraphie synchro de robots. Une prouesse technologique!!
Insolite. Robot humanoïde construit pour le divertissement.
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