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Vidéo : Prenez
le temps de goûter au temps en compagnie d'une artiste enlumineur,
Sarah Lesselbaum, qui décore un parchemin accompagnée d'une
merveilleuse musique de Max Bruch, intitulée "Kol Nidré"...
Le temps où on avait le temps... Bon voyage !
Un article paru dans GEO il y aquelques jours m'interpelle. Mais, d'abord, que nous dit-on de ces artistes féminines ?
"Quelles femmes artistes ont traversé l’Histoire? Y a-t-il eu des femmes artistes dont le talent était reconnu au cours du Moyen Age et à la Renaissance ? L’anonymat est un des plus grands problèmes posés aux historiens. Les femmes étaient souvent victimes de discrimination dans tous les domaines artistiques où les productions n’étaient pas signées, tels le tissage, la broderie ou encore la fabrication de dentelle. Au cours du Moyen Âge ancien, l’enluminure des manuscrits était une activité à laquelle se consacraient aussi bien les moines que les nonnes. Bien que quelques noms d’artistes percèrent au cours de cette époque, la très vaste majorité des enlumineuses reste inconnue. Ainsi, aucune information n’est disponible pour des pans entiers d’artistes..
(...)
Au Moyen Âge, les femmes avaient l’habitude d’œuvrer aux côtés des hommes : l’enluminure, la broderie sont des exemples courants de la production artistique féminine de l’époque. L’une des plus célèbres broderies du moyen âge est sans aucun doute la tapisserie de Bayeux, longue de 70 mètres, que la légende attribue à la reine Mathilde, bien que plusieurs historiens aient mis en doute cette provenance, plus probablement le fait d’un atelier ou d’un couvent.
L’enluminure des manuscrits est l’une des sources documentaires permettant l’identification de femmes artistes du Moyen Âge. Ces femmes bénéficièrent de l’environnement favorable des couvents, lieux d’apprentissage et de culture, et sans doute choix le plus judicieux pour une femme intellectuelle de l’époque."
Femmes artistes au Moyen Age et à la Renaissance | Nous les femmes
https://nous-les-femmes.org/2013/.../femmes-artistes-au-moyen-age-et-a-la-renaissanc...
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Je découvre ce peintre dont la minutie, la précision et la finesse du trait sont le fruit d’une longue et stricte et patiente discipline.
Je n’ai pas ajouté d’oeuvres de cet artiste car elles sont sous droits réservés et propriété intellectuelle.
Né le 6 décembre 1974 à Oulan Bator, Battulga Dashdor a très tôt manifesté un goût et des
dispositions pour les beaux arts. Il a étudié l’art traditionnel mongol avec divers professeurs aux
méthodes rigoureuses et suivi une formation complémentaire en art religieux.
En 1997, il obtient le Diplôme de l’Académie des Beaux Arts de Oulan Bator.
Ses compétences reconnues en art bouddhiste l’ont amené à restaurer les piliers et les plafonds des temples de Erdene Zuu et Amar Bayasgalant. Il est également peintre de tangkas.
Il travaille aussi les métaux précieux et pratique la sculpture et la lithographie.
Enseignant patient et compétent, il sait développer avec beaucoup de doigté les qualités
artistiques de ses élèves.
Battulga vit en France depuis 2004.
Il réside à Rennes depuis 2006.
En Bretagne, il expose et anime des stages de peinture traditionnelle mongole,
notamment avec l’association Encres de Chine de Rennes.
Il travaille la sculpture et la lithographie avec Marc Louise.
Il est l’auteur du livre : « Le voyage d’un peintre mongol en Bretagne »
(Ed. Ouest-France – 2008)
Il a exposé en Mongolie et en France particulièrement en Bretagne ( Rennes, Angers
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Illustration : compo avec tangka tradition
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Le vidéaste a choisi de parler de la Muse.
William Michael Rossetti, son beau-frère, l'a décrite comme "la plus belle créature avec un air entre la dignité et la douceur avec quelque chose qui dépassait modeste respect de soi et participait de réserve dédaigneuse; haut, finement formé avec un col haut et traits réguliers mais un peu hors du commun, les yeux unsparkling bleu-vert, de grandes paupières parfaites, teint brillant et une richesse lourde somptueux de cheveux d'or cuivré. "
© http://www.poemhunter.com/elizabeth-eleanor-siddal/
Elizabeth Eleanor Siddal née Siddall dite "Lizzie" (1829 -- 1862) modèle peinte et dessinée par les artistes préraphaélites, mais aussi elle-même poétesse et artiste-peintre anglaise. D'une beauté sensuelle, dotée d'une chevelure flamboyante, mais de constitution délicate, à la fois intense et dépressive, elle fut le modèle de John Everett Millais et de Dante Gabriel Rossetti dont elle hanta les toiles pendant dix ans. Christina, la sœur de Rossetti écrivit ce sonnet en 1856 :
« Un visage ressort de toutes ses toiles
Une figure identique est assise, marche ou se penche
Il se repaît des traits de son visage jour et nuit
Non telle qu'elle est, mais telle qu'elle remplit ses rêves »
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Crédit photos : vk.com/ knerger.de/
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« SINÉ, de son vrai nom Maurice Sinet, est un enfant de Barbès et de Pigalle. Son père était ferronnier d’art, condamné plusieurs années aux travaux forcés. Ce qui n’a pas peu contribué à sa méfiance chronique envers l’Etat, la justice et la police. Comme le dit sa biographie officielle, Siné est doué. A 14 ans il entre à l’école Estienne, étudie le dessin et la maquette. La nuit, il gagne sa vie en chantant dans les cabarets. Un jour, il tombe sur les dessins d’un Roumain devenu le plus célèbre des illustrateurs américains : Saul Steinberg. Ce sera l’une de ses principales sources d’inspiration : «Dès que j’ai vu les dessins de Steinberg, j’ai eu le coup de foudre et j’ai décidé d’essayer ce métier.» En 1957, il reçoit le grand prix de l’humour noir pour son recueil Complainte sans paroles.
Puis arrivent les chats. Des chats qu’il va dessiner sous toutes les formes, sous tous les noms. Cela va lui coller à la peau. Ses premiers chats sont nés pour remercier une amie d’une soirée, forcément bien arrosée : «Dessiner un chat ? C’était beaucoup moins cher qu’une gerbe d’orchidées ou une caisse de champagne millésimé», dira-t-il. Alors il ne s’en prive pas. »
Extrait de © www.liberation.fr/france/2016/05/.../sine-entre-quatre-planches_145081..
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Quatrième couleur de l’Arc-en-Ciel
LE JAUNE :
Le jaune est une couleur intense, violente, aveuglante car c'est la couleur la plus lumineuse après le blanc. En tant que couleur du soleil, le jaune est un symbole de puissance céleste. Le jaune est une couleur synonyme de lumière et de vie spirituelle
Le jaune est aussi la couleur de Van Gogh : celui de la « clarté suprême de l’amour »
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Une dynamique rétrospective de ces années-là en musique : Dimitri Chostakovitch - Jazz suite n°2 Valse 1 & 2) "Shostakovich: waltz 2 from jazz suite" de Armonie Symphony Orchestra.
Merci au vidéaste Francis C. C’est de la belle ouvrage !
Vous en souvient-il de quelques unes ? Celles dont nous ont parlé nos parents et grands-parents, les nôtres : gourmandises biscuitées aux chocolats et alcools, produits de beauté et de toilette, parfums, savon, dentifrice en passant par les parures de ces Dames, corsets, soieries et colifichets. On roule, on pédale, on flirte, on flâne à La Samaritaine. On s’encanaille au Moulin Rouge et aux Folies Bergères, on se distrait à l’Opéra. On découvre le jazz. On rêve d’évasion à bord des paquebots, trains et avions direction les Amériques, Monaco ou Venise et pays exotiques. À vous le plaisir de la découverte en un peu moins de dix minutes…
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Je cherchais un sujet « lumineux », au hasard de youtube, comme à l’accoutumée, et je me suis retrouvée dans cette cathédrale immense qui m’a émerveillée : Les Carrières de Lumière. Je suis entrée dans Les Villes Invisibles. J’ai rêvé les yeux ouverts en parcourant ces villes imaginaires, fragiles et ambitieuses dans l’éphémère.
C’est, nous dit le site www.carrieres-lumieres.com/fr/decouvrir, « toute une réflexion sur la nature de la ville et ses liens avec les éléments – eau, terre, feu, air – qui est déployée dans l’architecture magistrale des carrières. »
Les Villes invisibles jaillissent du bleu, se fragmentent, se morcellent, se liquéfient, se réunifient, s’éparpillent de nouveau. Kaléidoscope et vitraux géants ! Les couleurs vivent, palpitent, s’unissent. « Tours de Babel qui s’érigent vers le firmament, châteaux de cartes qui s’effondrent comme des dominos ». Les Villes, « nouvel Eden, bâties sur le sable ou perchées à la cime des arbres s’étirent entre ciel et terre », se dissolvent, se multiplient, emportées par le souffle du hasard ».
Le destin mélange les cartes et les disperse. Les rouages du Temps s’accélèrent…
« (…) enfin elles se transforment en une fabuleuse « Deux ex machina » appelée technologie… Toutes sont le fruit de cette recherche sans fin, symbole de notre histoire et de nos rêves où le seuil entre visible et invisible n’existe que dans les yeux de celui qui regarde ».
© thea
NB : Du 06 mars 2015 jusqu’au 03 janvier 2016, venez découvrir le spectacle "Michel-Ange, Léonard de Vinci, Raphaël. Les géants de la Renaissance".
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Matisse ou le choc des couleurs franches. Ce choc est toujours sensuel et rythmé, ce que l’on redécouvre dans les courbes hallucinantes de ses « Danses ».
En 1909, Le riche collectionneur russe, Sergeï Chtchoukine, passionnée d'art moderne, lui commande deux toiles géantes - La Danse et La Musique - pour décorer les paliers d'escalier de sa demeure moscovite. Matisse raconte qu'il est simplement allé au Moulin de la Galette et qu’il a regardé danser pour ensuite composer La Danse.
La Danse est l’un des tableaux les plus célèbres de Matisse. Il l’a « reproduit » sur différents autres tableaux par la suite, comme élément de « décor ». Il existe deux versions de ce tableau, la première conservée au Museum of Modern Art de New York, et l’autre au musée de l’Ermitage de Saint-Pétersbourg
(wikipédia)
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Crédit photos : matisse-col.spip.ac-rouen.fr (Henri Matisse (20 mai 1933) Photographe : Carl Van Vechten) / rosannadelpiano.perso.sfr.fr/ francetvinfo.fr/
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(C’est la
seule vidéo trouvée. Perso je n’aurais pas choisi cette chanson de Piaf
pour l’illustrer
mais je n’avais pas le choix. Ou alors désactiver le son…)
Du 17 janvier au 26 avril 2015, le Château des ducs de Bretagne à Nantes, rend hommage au peintre-graveur nantais Jean-Emile Laboureur et à son œuvre réalisée durant la Grande Guerre.
« Jean-Émile Laboureur. Images de la Grande Guerre » est la première exposition exclusivement consacrée à la production artistique de cet artiste durant la Première Guerre mondiale. Mobilisé en 1914 en tant qu’interprète auprès des troupes alliées, Jean-Emile Laboureur s’est mis à représenter le conflit dès 1915 sur le front d’Artois puis à partir de 1917 à la base américaine de Saint-Nazaire.
Il a créé de nombreuses gravures qui lui valurent le titre de « l’artiste le plus pénétrant de la guerre » (dixit le poète Guillaume Apollinaire). Ce succès d’estime s’explique par sa remarquable maîtrise des techniques de gravure, alors très en vogue, et par son style graphique original et moderne.
«Ce qui est intéressant, c’est de voir de quelle manière un artiste parvenait à s’adapter aux conditions et à poursuivre son activité malgré la guerre», raconte Gaëlle David, commissaire de l’exposition.
« En outre, son regard distancié - il illustrait le conflit essentiellement en arrière plan - offre un témoignage tout personnel emprunt d’une certaine légèreté. Il ne voulait pas montrer l’horreur, le sentimentalisme ou le patriotisme mais plutôt la vie des soldats en dehors des combats ».
Cette rétrospective, organisée dans le cadre des commémorations du centenaire de la première guerre mondiale, présente ainsi une centaine de documents d’archives (peintures, dessins, estampes, correspondances…) afin de (re)découvrir cet artiste local.
Plus d’infos : www.chateaunantes.fr
© www.nantes.fr/home/actualites/ville-de-nantes/culture/.../laboureur.html
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